...est une forme d’encouragement et/ou d’autorisation. Le Comité a appliqué ce principe à l’incapacité des États parties à « prévenir et protéger les victimes de la violence fondée sur le sexe, telle que le viol, la violence domestique, les mutilations génitales féminines et la traite des êtres humains ».42 Les États parties devraient interdire, prévenir et réparer la torture et les mauvais traitements dans tous les contextes de garde ou de contrôle, notamment dans les prisons, les......l’administration publique, « en particulier concernant le personnel chargé de l’application de la loi », sont inacceptables.87 Les migrants. L’un des plus grands risques auxquels sont exposés les migrants, en particulier les enfants non accompagnés et les autres personnes en situation de vulnérabilité, est celui de la traite des êtres humains.88 En vertu des articles 2 et 16, les États doivent prendre des mesures spécifiques pour la prévenir : Adopter une législation pénale contenant une définition juridique......allouées aux politiques et programmes dans ce domaine ; Veiller à ce que des services de soutien adéquats soient fournis aux victimes/survivants, y compris à ceux qui ne coopèrent pas avec les autorités ; Envisager d’accorder aux victimes/survivants de la traite des êtres humains des « permis de séjour temporaires ».95 III.6 Les détenus doivent bénéficier d’une protection spéciale contre les violences sexuelles et sexistes🔗 Si elles ne sont pas contrôlées, les situations de détention......air et mer ;197 La Convention de 1954 relative au statut des apatrides et la Convention de 1961 sur la réduction des cas d’apatridie ;198 Le statut de Rome de la Cour pénale internationale ;199 Les conventions du Conseil de l’Europe, y compris la Convention sur la lutte contre la traite des êtres humains ;200 La Convention interaméricaine pour la prévention et la répression de la torture.201 III.11 Les États doivent coopérer avec les acteurs......d’asile et assurer leur protection en respectant notamment le « principe de non-refoulement » ;204 Renforcer la coopération internationale pour lutter contre la traite des êtres humains, y compris par le biais d’accords bilatéraux, et contrôler son impact ;205 Rechercher la coopération internationale et l’assistance technique pour fournir une formation adéquate au personnel médical concernant leurs obligations en vertu de la Convention et conformément au Protocole d’Istanbul.206 III.12 Les États doivent mettre en place des mécanismes nationaux...